L'œuvre de Queneau s'apparente à une mosaïque de parodies et de voix polyphoniques. Texte qui a fait du jeu ludique et de l'humour son principe esthétique et qui se situe entre le déclin du réalisme et du naturalisme et l'essor du Nouveau Roman. C'est ainsi que le personnage quenien reçoit également une identité hybride, entre son caractère vraisemblable et réaliste et son déconstruction ultérieur. Il semble être le produit mixe d'un réseau complexe des textes parodiés. Or, ce palimpseste vertigineux, aussi bien que cet usage généralisé de la parodie, sont loin d'être gratuits ou même secondaires. Il semble que derrière ce jeu, un exercice de discernement hautement signifiant se cache. Dans cet article, choisissant comme corpus, les deux œuvres exemplaires de Queneau –Le Chiendent et Les Fleurs Bleues- qui présentent le même goût de la parodie, nous essayerons d'expliquer les procédés par lesquels le nom et le caractère du personnage quenien se construisent et se déconstruisent respectivement. Nous cherchons aussi de trouver le sens qu'un jeu parodique pourrait apporter à l'œuvre de Raymond Queneau.
В статье рассмотрены особенности репрезентации представлений о войне в художественном и публицистическом творчестве Л.Н. Толстого. Концепт «Война» является ключевым для творчества писателя. Описан лексикон, воплощающий данную тему. Для выражения сущности концепта «Война» Л.Н. Толстой использует слова сумасшествие, зло, насилие. Проанализирована эволюция взглядов Л.Н. Толстого на войну. Исследованы особенности тезауруса Л.Н. Толстого в аспекте концептуализации войны. Для творчества Толстого характерно осуждение войны. Однако, если ранний Толстой поддерживал войну народную и освободительную, то поздний считал любую войну проявлением зла, насилия, негативно оценивал деятельность военного, патриотизм. Представлена модель фрагмента концептосферы писателя, в которой война является следствием деятельности институтов власти и государства.